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Inspiré d’Hölderlin, le thème de cette exposition, « Habiter le monde », s’est d’abord révélé en des peintures se référant à des cités utopiques et à la recherche d’un dialogue entre nature et architecture.
Les sculptures renvoient à d’autres dialogues, à des confrontations aussi, avec la matière, avec les matières, lisses ou rugueuses, sous leurs multiples formes.
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Il faudrait, donc, ajouter les vitraux qui, loin de l’expressionnisme facile, renvoient à des motifs spirituels, intimes – au partage. Je pense aux vitraux du monastère de Bouzy-la-forêt et à ceux de la chapelle Notre-Dame des Foyers, de la rue Porte Dunoise à Orléans, dont on peut regretter qu’elle soit si souvent fermée.
Au total, Bernard Foucher était – et il reste pour nous – un artiste de l’intériorité.
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JPS