Les violences faites à de très jeunes enfants relèvent de la barbarie.
Nous devons dire notre reconnaissance à ceux qui sont intervenus courageusement pour s’opposer aux agissements d’un individu atteint de cette folie meurtrière, notre affection et notre solidarité aux familles touchées si cruellement.
Mais il me paraît indécent, indéfendable, odieux d’utiliser ce drame à des fins politiques.
Comme l’a écrit Florence Chedotal dans La République du Centre, c’est une attitude de « vautours ».
JPS