Par une question écrite, Jean-Pierre Sueur a interpellé le ministre de l’Intérieur sur les difficultés rencontrées pour venir en France par les personnes étrangères adoptées après leur majorité par le conjoint français de leur parent.
Par une question écrite, Jean-Pierre Sueur a interpellé le ministre de l’Intérieur sur les difficultés rencontrées pour venir en France par les personnes étrangères adoptées après leur majorité par le conjoint français de leur parent.
Jean-Pierre Sueur a participé le mercredi 12 juin au Sénat au débat sur le bilan de l’application des lois.
Jean-Pierre Sueur avait saisi le ministre de l’économie et des finances des cas dans lesquels des familles endeuillées font l’objet d’un démarchage indu visant à leur vendre des prestations et fournitures en services funéraires. Le ministre lui a répondu.
Les éditions « la guêpine » viennent de publier un texte oublié de douze pages de Jean Jaurès consacré à Étienne Dolet, né à Orléans, qui – comme on le sait – fut brûlé à Paris, place Maubert, pour « blasphème, sédition et diffusion de livres interdits », le 3 août 1546.
Le texte s'intitule : Le martyre d'un libre-penseur, Étienne Dolet
En prélude à ce texte, le même ouvrage contient une analyse de quarante-deux pages de Jean-Pierre Sueur intitulée : « Étienne Dolet, Jean Jaurès et le combat pour la liberté de l’esprit ». Il y explique que « Dolet et Jaurès se rejoignent l’un et l’autre, au-delà des époques. Ils auront connu les mêmes épreuves. On aura voulu les anéantir. Mais ils savaient l’un et l’autre que c’était vain et que rien n’anéantirait ce qu’il faut avant tout servir quoi qu’il en coûte – la souveraine liberté de l’esprit. »