« Des faits ont été étouffés au détriment des victimes » déclare Jean-Pierre Sueur dans une interview parue dans Libération de ce lundi 5 novembre à propos du scandale de la pédophilie dans l’Église catholique.
« Des faits ont été étouffés au détriment des victimes » déclare Jean-Pierre Sueur dans une interview parue dans Libération de ce lundi 5 novembre à propos du scandale de la pédophilie dans l’Église catholique.
Jean-Pierre Sueur a interrogé le ministre de l’Intérieur sur la détermination des indemnités des élus intercommunaux auxquels des délégations sont confiées. Dans la réponse qu’il lui a faite, le ministre de l’Intérieur apporte des précisions utiles pour les élus concernés.
Dans les inaugurations, on dit souvent des paroles convenues. Tel ne fut vraiment pas le cas lors de l’inauguration de l’Atelier Musée de l’Imprimerie (AMI) de Malesherbes, au cours de laquelle, avec d’autres, j’ai chaleureusement remercié Jean-Paul et Chantal Maury, sans lesquels ce magnifique musée, qui sera un nouveau joyau de notre département et de notre région, n’existerait pas.
On le sait, Jean-Paul Maury est l’un des principaux imprimeurs de France. On lui doit la création de 1 200 emplois, à Manchecourt et Malesherbes, essentiellement – ce qui n’est pas rien en cette période où le chômage reste élevé. Un grand nombre de magazines que nous lisons chaque semaine ou chaque mois sont imprimés à Manchecourt.
Mais, de surcroît, Jean-Paul et Chantal Maury ont fait preuve d’un remarquable mécénat en finançant largement le magnifique « atelier-musée » que je vous conseille d’aller visiter.
Certes, la Région, le Département, la communauté de communes, la commune et aussi l’État apportent – ou apporteront – de précieux subsides. Mais il est juste de dire que sans l’apport et l’engagement de Jean-Paul et Chantal Maury, rien n’aurait été possible.
Ce musée est unique en France et sans doute en Europe.
On y trouve les machines de l’imprimerie depuis Gutenberg jusqu’à nos jours. Mais surtout, on y découvre de très remarquables expositions sur l’histoire de l’écriture, de l’orthographe, des graphies, de l’impression, de l’édition – présentées de manière claire, agréable, pédagogique.
De surcroît, ce musée se veut vivant. C’est un atelier-musée. Il attirera tous les amoureux de l’imprimerie et de l’édition et, au-delà, un très large public.
Puissent la Région, le Département, toutes les collectivités locales organiser de vastes campagnes d’information et de promotion pour inciter nos concitoyens, les touristes et les visiteurs de France et du monde entier à venir visiter cet atelier-musée. Il le mérite amplement.
Jean-Pierre Sueur
>> Voir sur Facebook le discours que j’ai prononcé à l’inauguration de l’AMI
(Photos : Claudine Clodelle)
Jean-Pierre Sueur vient de déposer au Sénat une proposition de loi visant à assurer une plus juste représentation des petites communes au sein des conseils des intercommunalités (communautés de communes ou d’agglomération, notamment).
Le Conseil constitutionnel avait en effet déclaré inconstitutionnel l’article de loi permettant la composition de ces conseils par accord entre les communes, suite à une question préalable de constitutionnalité (QPC) posée à partir du cas de la communauté de communes de Salbris (Loir-et-Cher).
Pour rendre à nouveau possible un accord entre les communes, Jean-Pierre Sueur avait été cosignataire d’une proposition de loi qui appliquait strictement les critères pris en compte par le Conseil constitutionnel, mais s’est avérée être trop restrictive.
C’est pourquoi il vient de déposer une proposition de loi présentant un dispositif qui permettra une représentation plus équitable des petites communes.
Jean-Pierre Sueur tient à remercier Bertrand Hauchecorne, maire de Mareau-aux-Prés et mathématicien émérite, qui l’a aidé en concevant quatre solutions, dont celle qui a été retenue dans la proposition de loi – les autres restant disponibles pour le débat parlementaire.
La proposition de loi favorise, en outre, la participation des conseillers municipaux dans les commissions des intercommunalités.
Jean-Pierre Sueur a interrogé la ministre des solidarités et de la santé, Agnès Buzyn, après avoir reçu des représentants des kinésithérapeutes qui lui ont fait part de leurs inquiétudes au sujet des conséquences d’un récent arrêté relatif à la formation en chiropraxie.
Agnès Buzyn a apporté à Jean-Pierre Sueur une réponse précise à ces préoccupations.