Il lui a écrit : « Les instances compétentes doivent prochainement statuer sur les diverses propositions du groupe BRANDT qui ont été présentées. L’entreprise BRANDT COOKING de SAINT-JEAN-DE-LA-RUELLE est très performante. Sa situation financière est bonne. Elle a dégagé des bénéfices conséquents au cours des dernières années. Elle dispose d’un carnet de commande qui permet d’assurer un bon niveau d’activité au cours des prochains mois. Cette entreprise s’est modernisée dans la dernière période. De nouveaux investissements sont projetés. (…)
Dans ces conditions, il est essentiel que les choix qui seront faits quant à l’avenir du groupe garantissent non seulement le maintien de l’entreprise de SAINT-JEAN-DE-LA-RUELLE, mais aussi son développement futur, ce qui implique que les 900 emplois de l’entreprise soient maintenus et pérennisés.
Je me fais l’écho auprès de vous des préoccupations des 900 salariés de l’entreprise qui ne pourraient pas comprendre que leur emploi soit menacé alors que leur entreprise est moderne, performante, bénéficiaire et que son carnet de commande est substantiel. »
M. SUEUR a également évoqué les « 14 entreprises du Loiret qui sont sous-traitantes de l’entreprise BRANDT COOKING et dont le sort est souvent étroitement lié à celui de cette entreprise. »
Soulignant que « plusieurs groupes industriels ont déposé des offres de reprise, qui sont d’inégale qualité », M. SUEUR a conclu son intervention auprès de M. PIERRET en indiquant : « Je me permets d’insister auprès de vous pour que, dans cette période cruciale, vous veilliez tout particulièrement à ce que toutes les conditions soient réunies afin de garantir l’avenir du groupe BRANDT et particulièrement de l’établissement de SAINT-JEAN-DE-LA-RUELLE, et des entreprises qui lui sont liées, ainsi que l’ensemble des emplois de celles et ceux qui y travaillent.
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