Vous trouverez ci-dessous les dernières prises de position de Jean-Pierre Sueur.
Jean-Louis Rizzo, qui fut adjoint au maire d’Amilly, professeur au lycée de Montargis et à l’Institut d’études politiques de Paris, et qui est docteur en histoire contemporaine, est un historien d’une grande probité. Ses livres se caractérisent par leur sérieux. Ils témoignent d’une volonté de restituer l’histoire – et ceux qui la font – le plus justement possible, sans asservir la réalité à une thèse, une doctrine ou une idéologie. Il explique, analyse, permet de comprendre l’histoire, persuadé qu’il est – car il reste un pédagogue – que cette compréhension est indispensable pour déchiffrer le présent et préparer l’avenir.Chef de file du groupe socialiste du Sénat, conjointement avec Bernard Jomier, Jean-Pierre Sueur est intervenu à de nombreuses reprises dans le débat sur le projet de loi instaurant le « passe vaccinal ». il a constamment défendu la nécessité de la vaccination la plus large possible (son groupe avait voté l’obligation vaccinale) et le refus de demander aux restaurateurs, cafetiers et responsables d’établissements recevant du public de procéder à des contrôles d’identité, cela devant revenir à la police et à la gendarmerie – en vertu de ce qui est pour lui un choix de société ; il a récusé « une société où un quart des citoyens contrôlerait trois quarts des citoyens, ou chacun contrôlerait chacun. »
Dans nombre de communes du Loiret, des associations d’habitants travaillent sur leur histoire et élaborent des publications souvent précieuses, car le passé explique le présent et la connaissance de l’histoire est essentielle pour préparer l’avenir.
Je tiens à saluer le livre remarquable consacré à la forêt d’Orléans qui vient de paraître sous le titre La forêt d’Orléans : mythes et réalités, fruit de nombreuses années d’effort et de travail de Pierre Bonnaire, qui fut le fondateur de la Société des amis de la forêt d’Orléans (SAFO).• Ce livre, dont la réalisation a été coordonnée par Cécile Richard, est paru aux éditions du Jeu de l’Oie, 16 rue Saint-Nicolas, 45110 Châteauneuf-sur-Loire. 39,90 €
Christian Parcineau nous a quittés. Il a été durant 19 ans maire de sa chère commune de Nevoy, pour laquelle il s’est dépensé sans compter. Proche des habitants, Christian était un homme très chaleureux, pleinement engagé dans la politique, le syndicalisme et au service des associations. Merci, cher Christian, pour tout ce que tu as fait, et pour tout ce que tu nous as apporté ! Toute mon amitié à Annette et à vos enfants.
Jean-Marie Muller vient de nous quitter. Il aura consacré toute sa vie à penser la non-violence, et à mettre ses actes en conformité avec sa pensée. Il habitait dans le Loiret, à Chanteau. Il était amical, fraternel. Je me souviens de longues conversations avec lui. Il était très ouvert au dialogue, y compris avec les responsables de la Défense, qui ont, à plusieurs reprises, sollicité ses réflexions et analyses.
À tous les passionnés de l’œuvre de Max Jacob – qui repose au cimetière de Saint-Benoît-sur-Loire –, je signale le très riche dernier numéro des Cahiers Max Jacob (760 pages) dirigé par Patricia Sustrac et Alexander Dickow, consacré à « Max Jacob et la Bretagne ».Je suis triste d’apprendre le décès d’Hélène Pichot, artiste peintre, dont les œuvres subtiles, délicates, si sereines, étaient, restent - et resteront - aimées d’Orléans jusqu’au Japon. Merci, Hélène !
JPS


Il faut remercier et féliciter les éditions Infimes pour avoir publié récemment sous le titre Des hectares de silence un « choix de poèmes » de Jean-Louis Béchu en une édition établie et préfacée par Alexandre Vigne.Par une question écrite, Jean-Pierre Sueur est intervenu auprès de Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, pour lui demander le rapatriement des enfants français retenus dans la zone irako-syrienne.


L’UFC-Que Choisir a soixante-dix ans. Pour célébrer cet anniversaire, elle a choisi de publier un livre contant son histoire, rédigé par Jean-Bernard Gallois, qui se lit (presque) comme un roman.
>> Voir la vidéo de l'intervention dans la discussion générale
>> Voir la vidéo de l'interpellation d'Amélie de Montchalin
À l’initiative de mon collègue et ami Patrice Joly, sénateur de la Nièvre, le Sénat a adopté à l’unanimité une résolution très précise par laquelle il demande la mise en place d’un agenda rural européen.
C’est avec tristesse que j’apprends le décès de Kateb Yessad, qui fut un maître de conférences en droit à l’IUT d’Orléans très estimé par ses étudiants et ses collègues. Kateb s’est fortement impliqué dans la vie de l’Université et dans l’accueil des étudiants venus du monde entier. Il s’est pleinement engagé dans la vie associative, pour la défense des droits de l’homme, pour l’amitié entre la France et l’Algérie,où il est né, ainsi que les autres pays du Maghreb. Il était progressiste, chaleureux, d’une grande générosité intellectuelle. J’assure son épouse, Monique, de toute mon amitié.Jean-Pierre Sueur a participé à l’audition, par les commissions des lois et des affaires sociales du Sénat, de Jean-Marc Sauvé, président de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église (CIASE).
>> (Re)voir la vidéo de l’audition
À la suite des alertes lancées par l’association « Territoires et cinéma », Jean-Pierre Sueur a interpellé, par une question écrite, Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, sur le développement de la défiguration de films par des insertions publicitaires en raison de la multiplication des canaux de diffusion et de l’acquisition de catalogues de films par des entreprises extra-cinématographiques.
Éditorial du numéro de novembre 2021 (35) de La Lettre de Jean-Pierre Sueur
Jean-Pierre Sueur
Depuis la grande loi de 1982, due à François Mitterrand, Pierre Mauroy et Gaston Defferre, cela fait donc quarante ans que nous vivons au sein d’une République qui a choisi de rompre avec des décennies et même des siècles de centralisme excessif.
Michèle Gendreau-Massaloux qui fut rectrice (on ne devait pas féminiser ce nom à l’époque !) à Orléans avant de l’être à Paris puis à l’agence universitaire de la francophonie, nous offre, dans le dernier numéro de la revue Critique, s’agissant de l’œuvre d’Hélène Cixous, une analyse très pénétrante des rapports qui unissent, en un même être, l’écrivain et le lecteur. « Qui ne reconnaît aujourd’hui – écrit-elle d’emblée – qu’être un écrivain, c’est aussi peut-être et d’abord être un lecteur. » Ainsi, nous dit-elle encore, Julien Gracq, « en lisant, en écrivant, découpe au scalpel les textes de ses aînés. »Jean-Pierre Sueur a interpellé Jean-Baptiste Djebbari, ministre des Transports, au sujet de la situation de la gare de Montargis. Dans la question qu’il vient de lui poser, il expose que le nombre de personnels affectés aux guichets au sein de cette gare est notoirement insuffisant et que, de ce fait, des guichets sont fréquemment fermés. Il ajoute que les distributeurs automatiques de titres de transport connaissent des dysfonctionnements, notamment pour l’impression des billets à tarif réduit. Il lui demande en conséquence quelles dispositions il compte solliciter de la SNCF pour mettre fin dans des délais rapides à ces carences et dysfonctionnements.
…Je me revois encore dans le bureau de Philippe Wahl, président du groupe La Poste, qui m’annonçait que le bâtiment des « Chèques » – je persiste, comme nombre d’habitants d’Orléans-La-Source, à l’appeler ainsi – étant obsolète, il ne serait ni rénové, ni reconstruit… Et, me disait-il, ses services trouveraient dans l’agglomération d’Orléans, ou plus loin, une « friche industrielle » juste bonne pour accueillir les mille – huit cents à ce jour – salariés des « Chèques postaux », devenus aujourd’hui les services financiers de La Poste. Philippe Wahl me faisait valoir que La Poste ne construisait plus, n’investissait plus dans l’immobilier et que, d’ailleurs, même le siège historique parisien du boulevard Vaugirard allait se déplacer vers des espaces de bureaux loués à Issy-les-Moulineaux – ce qui fut fait.
Le premier – qui comprendra trois bâtiments très modernes – ne sera pas à La Source même… mais à Olivet, à quelques dizaines de mètres de la limite entre Olivet et Orléans-La-Source, dans un cadre verdoyant et agréable. Et l’on doit remercier la municipalité d’Olivet pour sa totale coopération.
Il faut saluer une fois encore le succès de la présentation par La Fabrique Opéra de l’opéra de Verdi, La Traviata, au Zénith d’Orléans – et cela d’autant plus que la crise du Covid n’a pas facilité la préparation du spectacle, qui a dû être retardé. Félicitations donc, au chef Clément Joubert, au metteur en scène Gaël Lépingle, aux chanteurs, aux chœurs, aux danseurs, à l’équipe de La Fabrique Opéra. Mais félicitations aussi et surtout à cette équipe pour avoir su associer à cette belle aventure nombre de lycées, de centres de formation d’apprentis – et au total, des centaines de jeunes qui ont œuvré avec enthousiasme et qui ont appris, en participant ou assistant aux spectacles, à aimer l’art lyrique. Ce n’est pas la moindre des réussites de La Fabrique Opéra.
JPS
« Charles Péguy et la littérature » : tel est le thème du débat entre Alain Finkielkraut et Jean-Pierre Sueur sur Charles Péguy et la littérature animé par Guillaume Erner, de France Culture, qui a été diffusé (et rediffusé à plusieurs reprises) sur Public Sénat. Ce débat qui a été coproduit par Public Sénat et France Culture pour l’émission « Livres et vous » est disponible en podcast, notamment sur France Culture.
Le numéro de juillet 2021 de la revue Crémation Magazine a publié une interview de Jean-Pierre Sueur sur l’évolution du secteur funéraire – en particulier pour ce qui est de la législation – au cours des dernières années.
C’est un important ouvrage, publié aux Presses universitaires de Rennes, que nous livrent vingt-trois universitaires, enseignants-chercheurs, dont beaucoup appartiennent aux Universités d’Orléans et de Tours, sous le titre, en partie inexact de Lieux de mémoire en Centre-Val de Loire. Les monographies qui y sont réunies ne portent en effet pas seulement sur les « lieux de mémoire », mais aussi sur des personnages (des « acteurs ») et des événements (des « moments »). Cela pourrait paraître disparate, mais ne l’est pas, puisqu’il s’agit de cerner l’identité de notre région Centre-Val de Loire. Et que cette identité est faite de paysages, de villes, de monuments, mais aussi d’hommes et de femmes, et d’événements, qui ont façonné son histoire.

La notion de marge d’erreur (ou, plus scientifiquement d’« intervalle de confiance ») est essentielle. En effet, les sondages ne peuvent jamais fournir de résultats en chiffres absolus : ils ne peuvent donner que des écarts.
À un moment où, avec l’accumulation des ordonnances, le pouvoir exécutif s’approprie dans les faits une part non négligeable des prérogatives du Parlement, il est juste, nécessaire et salutaire de réfléchir pour le futur à un meilleur équilibre de nos institutions et à un rôle accru du Parlement.
Ce qui caractérise les trois compagnies qui cohabitent au Théâtre de l’Escabeau, à Briare, et qui s’unissent pour leurs spectacles d’été, c’est tout simplement – mais c’est essentiel ! – l’amour du théâtre. Nous en avons une nouvelle illustration cette année avec L’Alchimiste de Ben Jonson – auteur contemporain de Shakespeare – mis en scène avec brio par Stéphane Godefroy. Il y a encore deux représentations, les vendredi 10 et dimanche 11 septembre à 20 h 30.
Jean-Pierre Sueur
À l’heure où la Tunisie connaît des soubresauts politiques qui ouvrent sur un avenir incertain, et même si l’espoir demeure, à l’heure où elle est confrontée à une terrible épreuve sanitaire (1), il est éclairant de lire le livre d’un Tunisien né près de Sousse et devenu un chercheur de haut niveau, Abdellaziz Ben-Jebria, qui vient de paraître aux éditions Edilivre.
C’est l’histoire d’une ascension sociale et intellectuelle, de l’école primaire d’un petit village de Tunisie aux universités françaises – une ascension menée à la force du poignet, de petits boulots en petits boulots, pour assurer le financement nécessaire – puis à un doctorat d’État, à un statut de chercheur de haut niveau au sein de l’INSERM. Et puis Abdellaziz Ben-Jebria a été, comme tant d’autres étudiants français ou non ayant atteint ce haut niveau, happé par les États-Unis, où il mène un brillant parcours universitaire et scientifique. Qui dira combien notre pays aura payé ces « appels d’air » incessants de nos meilleurs scientifiques, faute que la France puisse simplement leur proposer des emplois au sein des universités et organismes de recherche rémunérés au niveau qui est le leur ?
Ce parcours est toute une histoire qui appelle à la réflexion. Il s’achève (provisoirement) lorsqu’Abdellaziz Ben-Jebria rentre en Tunisie en 2010. Il vit la révolution, ce « printemps arabe » dont il nous parle avec une extrême lucidité. Il nous explique qu’alors que des foules joyeuses s’enthousiasmaient pour l’avenir qui s’ouvrait avec le départ de Ben Ali « et de sa bande », on assistait « au réveil de politiciens opportunistes de tout bord pour […] voler à ces jeunes gens naïfs leur propre victoire ; ces politiciens arrivistes ont vite clamé leur pseudo contribution au renversement du régime Ben Ali et se sont enfoncés à cœur joie dans la prolifération de centaines de partis politiques. […] Pire, on assistait aussi au retour victorieux des tenants de la vérité divine pour réclamer leur part de gâteau. »
Et il ajoute : « On semblait oublier que la Tunisie est à la fois africaine et méditerranéenne par sa situation géographique […], qu’elle avait préservé la mémoire intacte pour demeurer ouvertement pluriculturelle par l’imprégnation de ses anciennes civilisations punique, carthaginoise, romaine, byzantine et j’en passe bien d’autres […] tout en préservant ses coutumes musulmanes et ses traditions populaires. »
Il dénonce la nouvelle constitution qu’il juge « incohérente, opaque et imprécise » et l’action d’une « arrogante et irresponsable troïka » qui « s’est précipitée à doubler artificiellement les salariés de la fonction publique. » Il explique combien cela a pesé sur la situation économique.
Et il n’a pas de mots assez durs contre la corruption.
On voit bien qu’il attend, qu’il espère autre chose. Puisse l’avenir lui donner raison. Puisse le « printemps arabe », né en Tunisie, et qui s’y est poursuivi, alors qu’il sombrait partout ailleurs, vivre, et vivre longtemps par le chemin retrouvé de réformes fortes respectueuses d’une nation et d’un peuple qui furent toujours ouverts au monde et à la modernité tout en gardant leur identité profonde !
Jean-Pierre Sueur
Jean-Pierre Sueur salue la décision de la Cour de cassation qui a rejeté le pourvoi de Monsieur Teodorin Obiang, vice-président de la Guinée équatoriale.
Cette décision aura pour effet de mettre en oeuvre, pour la première fois, le nouveau dispositif, qui a été initié par sa proposition de loi de 2019, qui a été inscrite dans la récente loi sur l'aide au développement, et qui permettra de restituer aux populations spoliées les biens confisqués par la justice française.
Jean-Pierre Sueur salue l'action opiniâtre des associations, et notamment de Transparency International, pour que l'on parvienne enfin, à l'inscription dans le droit français, de la restitution des biens mal acquis.
Lors du débat qui a eu lieu ces derniers jours sur la vaccination et les dispositions contraignantes, deux notions ont guidé les positions exprimées par le groupe socialiste du Sénat, auquel j’appartiens :
- La responsabilité, d’abord. Le sens de la responsabilité nous a conduits à défendre la vaccination la plus large possible du maximum de nos concitoyens – et même de tous les Français. C’est en effet le seul moyen de lutter effectivement contre la pandémie et d’atteindre l’immunité collective.
- Le respect des libertés, ensuite. Durant cette période où cette immunité collective n’est pas atteinte, s’il est justifié de mettre en œuvre des dispositions contraignantes, celles-ci doivent se limiter aux mesures indispensables et pour un temps limité. C’est le sens des amendements que nous avons déposés et soutenus. Nous récusons une société dans laquelle la moitié des citoyens seraient appelés à contrôler l’autre moitié, et inversement !
Jean-Pierre Sueur
Le Sénat a adopté définitivement ce mardi 20 juillet le projet de loi de programmation relative au développement solidaire et à la lutte contre les inégalités mondiales. Ce texte contient une avancée historique pour la restitution des biens mal acquis qui permettra enfin aux objectifs inscrits dans ma proposition de loi adoptée à l’unanimité par le Sénat en 2019 de se traduire dans la réalité.
Ce texte permettra de restituer aux populations des pays spoliés les recettes provenant de la confiscation des biens de personnes reconnues coupables, en France, des délits de recel, de blanchiment, ou de blanchiment de recel d’infractions à la probité lorsque l’infraction d’origine a été commise par une personne dépositaire de l’autorité publique, chargée d’une mission de service public ou investie d’un mandat électif dans un État étranger, dans l’exercice de ses fonctions.
Conformément à mes propositions, la restitution des « biens mal acquis » pourra être réalisée par le financement des actions de développement, au plus près des populations concernées dans le respect des principesde transparence, de redevabilité et en associant des organisations de la société civile en France et dans le pays d’origine.
Je me réjouis de cette avancée pour les populations spoliées et je resterai vigilant quant aux modalités pratiques afin que les sommes restituées ne soient pas confondues avec le budget de l’aide publique au développement.
Jean-Pierre Sueur
>> Dans la presse :
Les règles européennes disposent que les nouvelles cartes d’identité devront obéir aux mêmes règles dans l’ensemble des pays de l’Union européenne. Ainsi, la mention « carte d’identité » sera écrite dans la langue de chacun des pays mais devra l’être aussi dans une ou plusieurs autres langues. Cela pourra s’appliquer également aux autres mentions figurant sur la même carte. Dans ce cadre, Jean-Pierre SUEUR a relayé, lors d’une question orale posée au Sénat, les propositions faites par M. Paul DE SINETY, délégué général à la langue française, qui consistaient à inscrire, au minimum, la mention « carte d’identité » dans les langues des pays limitrophes de la France, c’est-à-dire l’anglais, l’allemand, l’italien et l’espagnol. Il a considéré que cette pluralité de mentions manifesterait une ouverture positive au plurilinguisme.
Il s’est heurté à l’opposition de Mme Marlène SCHIAPPA, qui représentait le Gouvernement, qui a défendu la seule mention de l’anglais à côté du français.
Jean-Pierre SUEUR a regretté cette position exclusive en cette année de « Brexit », et a souhaité, lors de la séance publique du Sénat, que cette position puisse être revue à l’avenir.
> Lire la question orale de Jean-Pierre Sueur et la réponse de la ministre