Loiret

  • Coronavirus, réforme des retraites, élections municipales à Orléans : Jean-Pierre Sueur était l'invité de France Bleu Orléans vendredi 6 mars.

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  • À la suite des informations selon lesquelles l’une des entreprises travaillant sur le chantier de la gare d’Austerlitz a décidé d’interrompre ses travaux en raison de taux de plomb « alarmants » et « jusqu’à quarante fois supérieurs à la normale », Jean-Pierre Sueur a interpellé Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, pour lui demander d’apporter dans les plus brefs délais, et en toute transparence, des informations précises à ce sujet, et plus particulièrement sur les risques induits, sur les précautions qui ont été prises ou le seront et sur les dispositions qu’elle prendra dans l’immédiat pour assurer la sécurité sanitaire de l’ensemble des salariés travaillant sur ce site et de l’ensemble des usagers.  

    Présence de grande quantité de plomb sur le chantier de la gare d'Austerlitz

    Question n° 0943S adressée à Mme la ministre de la transition écologique et solidaire
    À publier le : 10/10/2019
    Texte de la question : M. Jean-Pierre Sueur appelle l'attention de Mme la ministre de la transition écologique et solidaire sur le fait que l'une des entreprises en charge du chantier de la gare d'Austerlitz a été conduite à interrompre ses travaux en raison de taux de plomb « alarmants » et « jusqu'à 40 fois supérieurs à la normale » selon les informations publiées par le journal « Le Parisien ». Il lui demande d'apporter dans les plus brefs délais et en toute transparence, des informations précises quant à cette présence de grande quantité de plomb au sein de cette gare, sur les risques induits, sur les précautions qui ont été prises ou le seront et sur les dispositions qu'elle prendra dans l'immédiat pour assurer la sécurité sanitaire de l'ensemble des salariés travaillant sur ce site et de l'ensemble des usagers de la gare d'Austerlitz. 

     

  • Jean-Pierre Sueur est intervenu en séance publique au Sénat ce mardi 2 juillet, pour plaider la cause d’une relance de l’action du BRGM en matière d’investissement dans l’exploration et la recherche minières. Il a exposé le besoin de la France en métaux rares et stratégiques, y compris pour la transition énergétique. Il a souligné par ailleurs que, contrairement aux États-Unis, à la Chine et au Canada, la France avait abandonné l’exploration minière, alors que le BRGM fut par le passé très actif en ce domaine. Il a souligné que le BRGM s’engageait à respecter les meilleures normes environnementales et sociales pour la mise en œuvre de tels projets. Il a demandé que l’État aide financièrement le BRGM pour mener à bien ces projets et cette politique de relance minière.

    Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’économie et des finances, a notamment répondu à Jean-Pierre Sueur : « Nous partageons votre souci de sécuriser les approvisionnements des  entreprises françaises en matières premières et tout particulièrement en métaux stratégiques. La relance de l’activité minière sur le territoire ou à l’étranger avec l’appui du BRGM fait partie des solutions. Le BRGM est un acteur de premier plan au sein du comité des métaux stratégiques, que ce soit pour la veille stratégique, pour les solutions technologiques de production de métaux critiques par le recyclage ou pour la mise en évidence de ressources primaires en France et à l’étranger. La réforme du code minier a pour ambition de permettre l’émergence de projets miniers exemplaires. »

  • Jean-Pierre Sueur est intervenu au Sénat lors du débat sur le projet de loi « énergie et climat » pour poser la question – dont lui ont fait part de nombreux élus du Loiret – de la nécessaire information préalable des maires et des communes sur les projets d’installation d’éoliennes.

    Il a demandé à Élisabeth Borne, nouvelle ministre de la Transition écologique et solidaire, qu’ils soient, dans tous les cas, informés au préalable de tous les projets éoliens et que l’avis favorable de la commune soit requis, quelle que soit la dimension des éoliennes, y compris si elles ne relèvent pas de la nomenclature des Installations Classées pour la Protection de l’Environnement (ICPE).

    Il a regretté que les trois amendements qu’il a déposés à cette fin aient été déclarés irrecevables en raison d’une interprétation qu’il juge excessive de l’article 45 de la Constitution.

    Il a demandé en conséquence à la ministre de prendre ses demandes en considération. Il prendra par ailleurs de nouvelle initiatives parlementaires à cet égard.  

    Jean-Pierre Sueur déposera prochainement une proposition de loi reprenant ses trois amendements. Elle sera diffusée sur le son site.

     

  • Alerté par Frédéric Cuillerier, maire de Saint-Ay, qui lui a indiqué qu’à ce stade, il n’y avait pas d’engagement de reconstruction sur place de l’entreprise CIRETEC de Saint-Ay qui compte 74 salariés, fortement qualifiés et qui fabrique des composants électroniques à destination civile et militaire, Jean-Pierre Sueur est intervenu auprès de Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle, Sébastien Lecornu, ministre des Armées, et Régine Engström, préfète de la Région Centre Val-de-Loire et du Loiret, pour leur demander de mobiliser tous les moyens de l’État auprès du groupe qui détient CIRETEC afin d’obtenir la reconstruction sur place de l’entreprise.
  • La République du Centre, 6 juillet 2023

     
  • La République du Centre, 19 sepembre 2023

     
  • Le Parisien, 27 septembre 2023

  • La République du Centre, 3 octobre 2020

  • L'Éclaireur du Gâtinais, 27 septembre 2023

  • Le Courrier du Loiret, 27 septembre 2023

     
  • Loiret Actualités, 9 février 2023

     

     
  • Lorsque Jean-Paul Maury, initiateur, fondateur et mécène de l’atelier-musée imprimerie de Malesherbes, Jean-Marc Providence, directeur, et moi-même à qui Jean-Paul Maury avait demandé de venir avec eux plaider cette juste cause, nous sommes retrouvés devant le haut conseil des musées de France, composé notamment de conservateurs de nombreux musées français, le 8 décembre 2022, afin de solliciter pour cet établissement le label « musée de France », fruit de trois ans de démarche, nous ne savions pas si la partie serait gagnée.
    Pourtant les atouts ne manquaient pas. Dû à la volonté et à la ténacité de Jean-Paul Maury et de l’équipe qui l’entoure, cet atelier-musée est unique en Europe. Il rassemble 150 machines, des 18e au 20e siècles, dont la presse qui servit à imprimer en recto-verso Les Misérables de Victor Hugo, une autre ayant appartenu à Honoré de Balzac (et qui connut bien des échecs en matière d’imprimerie, ce qui lui inspirera Illusions perdues). Mais, de surcroît, il présente dans une remarquable muséographie l’histoire de l’imprimerie depuis six siècles, et bien au-delà, l’histoire et les réalités des arts graphiques des origines à nos jours.
    C’est un joyau, au cœur de la cité de l’imprimerie qu’est Malesherbes et Le Malesherbois, et, de surcroît, un musée vivant ouvert à toute forme d’art et de culture, au travers d’expositions temporaires et d’ateliers très nombreux en direction, tout particulièrement, des jeunes.
    J’ajoute  – mais faut-il le préciser ? – que c’est un atout touristique pour le Nord-Loiret, le Loiret et la région Centre-Val de Loire.
    … Ce fut donc avec une grande joie que nous avons appris, peu après, que suite à nos plaidoiries… mais surtout en raison de la très remarquable richesse de cet atelier-musée, celui-ci se voyait décerner enfin, le label « musée de France », qui sera un atout très précieux pour son développement et son rayonnement.
    Jean-Pierre Sueur
  • Je tiens à saluer le livre remarquable consacré à la forêt d’Orléans qui vient de paraître sous le titre La forêt d’Orléans : mythes et réalités, fruit de nombreuses années d’effort et de travail de Pierre Bonnaire, qui fut le fondateur de la Société des amis de la forêt d’Orléans (SAFO).
    Cet ouvrage rassemble les contributions de plus de cinquante auteurs portant sur l’histoire de cette forêt – la plus grande domaniale de France –, sur « l’univers des arbres et du bois » et sur le « patrimoine humain et matériel » qu’elle constitue.
    On dit souvent que la forêt d’Orléans sépare l’Orléanais et le Gâtinais. Je crois au contraire qu’elle unit tous les territoires du Loiret. C’est pourquoi j’ai écrit en avant-propos à ce livre un texte intitulé « Une forêt qui nous unit ».
    JPS

    • Ce livre, dont la réalisation a été coordonnée par Cécile Richard, est paru aux éditions du Jeu de l’Oie, 16 rue Saint-Nicolas, 45110 Châteauneuf-sur-Loire. 39,90 €

     
     
     
  • Je signale l’ouvrage intitulé La guerre de 1870-1871 dans le Loiret qui vient d’être édité par Le Souvenir Français. Les hommes de « l’Armée de la Loire » payèrent un lourd tribut lors des combats qui ont eu lieu dans le Loiret au cours de cette guerre, il y a 150 ans. Cet ouvrage est une juste œuvre de mémoire à leur égard, qui rappelle leurs noms, lorsque c’est possible, et présente tous les monuments qui leur sont dédiés dans chacune des communes du département.

    JPS

    ♦ Délégation générale du Loiret du Souvenir français, Maison Sonis, 3 allée du 2e Régiment des hussards, 45000 Orléans

     
  • Mag'Centre, 26 mars 2023

     
  • France Bleu, 19 octobre 2022

     

  • Suite à l’intervention que Jean-Pierre Sueur a faite au sujet de la situation du service mobile d’urgence et de réanimation (SMUR) de Pithiviers auprès de Laurent Habert, directeur général de l’Agence régionale de santé Centre-Val de Loire, celui-ci vient de lui répondre qu’« il n’est nullement prévu de supprimer ce service. »
     
     
  • Jean-Pierre Sueur est intervenu auprès du ministre des Transports, Clément Beaune, sur les dysfonctionnements constatés sur deux lignes concernant la desserte du Loiret : la ligne POLT (Paris-Orléans-Limoges-Toulouse) et la ligne Paris-Clermont-Ferrand. Il avait insisté auprès de lui sur la nécessité de moderniser ces deux lignes de manière à ce que les temps de transport soient respectés, et qu'ils soient réduits.
    Clément Beaune lui a répondu.
  • La République du Centre, 25 mars 2021