Loiret

  • La République du Centre, 13 mai 2022

     
  • La République du Centre, 23 décembre 2021

     
  • Jean-Marie Muller vient de nous quitter. Il aura consacré toute sa vie à penser la non-violence, et à mettre ses actes en conformité avec sa pensée. Il habitait dans le Loiret, à Chanteau. Il était amical, fraternel. Je me souviens de longues conversations avec lui. Il était très ouvert au dialogue, y compris avec les responsables de la Défense, qui ont, à plusieurs reprises, sollicité ses réflexions et analyses.
    Il avait publié trente-six livres, une œuvre considérable, depuis L’Évangile de la non-violence, en 1969, jusqu’à La violence juste n’existe pas. Oser la non-violence, en 2017, en passant par Désarmer les dieux, ample analyse des rapports entre les religions et la violence, et des ouvrages consacrés à Gandhi, Simone Weil, Charles de Foucault, Albert Camus, Nelson Mandela, Guy-Marie Riobé, etc. Ses livres ont été traduits dans le monde entier, parfois clandestinement, comme en Pologne.
    Jean-Marie Muller avait sollicité l’objection de conscience, alors qu’il était officier de réserve. Il s’en suivit un procès au cours duquel il reçut le soutien de Guy-Marie Riobé, évêque d’Orléans. Il alla protester sur place, dans le Pacifique, contre les derniers essais nucléaires français. Il participa à la conférence de Medellin. Il se rendit partout, en Amérique du Sud, en Afrique, au Moyen Orient, en Inde, au Liban, pour défendre ses convictions lors de multiples conférences, colloques, ou en donnant de nombreux enseignements. Il était connu dans le monde entier, parfois plus qu’en France.
    Il avait fondé le Mouvement pour une Alternative Non Violente (MANV). Il était directeur des études à l’Institut de recherche pour une résolution non violente des conflits. Il était l’un des fondateurs de la première université académique pour la non-violence dans le monde.
    Ses convictions étaient fortes. Il était chaleureux. Qu’on partage des idées ou non, sa contribution est féconde et profonde pour toutes celles et tous ceux qui aspirent à la paix - dans un monde où la violence  et la guerre prennent toujours trop de place.
    Un grand merci, Jean-Marie !
    Jean-Pierre Sueur

     

  • La République du Centre du 5 novembre 2009

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  • Jean-Paul Rabourdin nous a quittés. Il nous aura constamment marqués par son sens de l’engagement et son dévouement discret. Jean-Paul n’était pas un « arriviste », il ne cherchait pas à se mettre en avant : il était simplement au service des autres, guidé par de solides valeurs. Ainsi s’est-il engagé dans son métier d’agriculteur, à Sandillon, et, très vite, dans le syndicalisme agricole. Il s’est engagé politiquement au sein du Parti socialiste. Il s’est engagé dans la vie associative, notamment au Secours populaire. Jean-Paul, avec la « force tranquille » de son tempérament, refusait toute discrimination et voulait que tous les humains soient des frères et des sœurs, quelle que fût leur origine ou la couleur de leur peau. Merci Jean-Paul ! Toute mon amitié à ton épouse Chantal et à tes enfants, Fabrice et Carole.
    JPS
  • Après avoir rencontré récemment les membres de « l’Association du bassin de La Cléry », Jean-Pierre Sueur est intervenu auprès de Franck Riester, ministre de la Culture et Pierre Pouëssel, préfet du Loiret, pour appeler tout particulièrement leur attention sur les vives préoccupations des riverains de la rivière La Cléry au sujet du devenir des 35 moulins qui sont situés sur les 43 kilomètres que compte ce cours d’eau.

    « En effet – a-t-il écrit – les propriétaires de ces moulins ont reçu cet été des projets d’arrêtés les obligeant à effectuer des travaux, ou à prendre des mesures qui pourraient mettre en cause la pérennité de ces moulins. Ainsi, en serait-il, par exemple, de l’obligation faite aux propriétaires de certains moulins d’ouverture des vannes pendant une période de six mois par an, ce qui pourrait avoir des effets très négatifs sur le niveau de l’eau et sur l’environnement ».

    Jean-Pierre Sueur a indiqué qu’« aucune réunion publique n’avait été organisée par les services de l’État pour présenter et justifier les mesures envisagées ». Il s’est étonné qu’ « une concertation approfondie n’ait pas été mise en place alors qu’il est demandé aux propriétaires concernés de s’exprimer dans de très brefs délais, puisqu’ils devaient le faire avant le 30 septembre prochain sur les projets d’arrêtés qui leur ont été transmis cet été ».

    Il a souligné que « les moulins, dont certains sont très anciens, constituent un patrimoine de grande valeur, aussi bien sur La Cléry que sur d’autres rivière du département du Loiret, auxquels les habitants sont légitimement attachés. Ils méritent assurément d’être protégés » et a rappelé qu’il était lui-même intervenu au Sénat lors de débats parlementaires qui ont permis l’adoption d’articles de loi qui confortent cet objectif. Il s’agit d’articles qui disposent que «la gestion équilibrée de la ressource en eau ne fait pas obstacle à la préservation du patrimoine hydraulique, en particulier des moulins hydrauliques et de leurs dépendances, ouvrages aménagés pour l'utilisation de la force hydraulique des cours d'eau », et que « les mesures résultant de l'application du présent article sont mises en œuvre dans le respect des objectifs de protection, de conservation et de mise en valeur du patrimoine protégé soit au titre des monuments historiques, des abords ou des sites patrimoniaux remarquables en application du code du patrimoine, ou du code de l'urbanisme ».

    Il a également ajouté que les moulins peuvent produire de l’énergie renouvelable et que les biefs constituent des réserves incendies précieuses pour la sécurité incendie.

    Il a enfin demandé au ministre et au préfet « compte tenu de la vive et légitime émotion des riverains de La Cléry » une « remise à plat de ce dossier et l’organisation de réunions publiques ainsi que de concertations approfondies avec les riverains afin de prendre pleinement en compte, outre la gestion équilibrée de la ressource en eau, l’incontestable valeur patrimoniale de tous les moulins concernés ».

    >> La lettre au ministre de la Culture

    >> La lettre au préfet

  • Après avoir reçu des représentants dans le Loiret du Syndicat Alternative Police CFDT, qui ont évoqué les conditions d’exercice de leur métier dans notre département, Jean-Pierre Sueur est intervenu auprès de Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur.

    Il a tout d’abord particulièrement insisté sur la nécessité de renforcer les effectifs, largement déficitaires, dans tous les corps, de manière récurrente. Ainsi, alors que l’effectif de référence compte 551 personnels de police, seuls 510 postes sont effectivement pourvus. Il y a donc un sous-effectif de 41 postes, par rapport à un effectif de référence déjà contraint.

    Il a demandé en outre la nomination d’effectifs complémentaires en lien avec la création de quartiers de reconquête républicaine dans les circonscriptions d’Orléans et de Montargis, comme cela a été fait dans d’autres circonscriptions de la région Centre-Val de Loire. Il a aussi demandé, pour accroître l’attractivité du Loiret auprès des personnels de police, l’instauration d’une prime de fidélisation, comme cela existe dans d’autres départements comparables, et l’instauration d’horaires de travail plus adaptés à la vie sociale et familiale des fonctionnaires.

    >> La lettre envoyée à Christophe Castaner

  • Après avoir rencontré les représentants du syndicat Alternative Police CFDT, Jean-Pierre Sueur a écrit à Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, pour lui donner acte que les vingt-cinq policiers dont il avait annoncé la nomination ont bien été affectés en 2021 dans le Loiret… mais que, depuis, un nombre équivalent de policiers ont quitté le Loiret pour d’autres départements. Il lui a donc demandé d’affecter au moins trente policiers dans le Loiret pour compenser ces départs. 
    Il lui a, de plus, demandé, par une question écrite (lire ci-dessous), que pour pallier cet important « turn over », les policiers  affectés à Orléans et Montargis  puissent bénéficier de la « prime de fidélisation », à l’instar de ceux de  Dreux, Vitrolles, Marseille, Lille, Dunkerque, Beauvais, Creil, Calais, Lyon, Gisors, Le Havre, Rouen et Amiens. 
     
    Circonscriptions de sécurité publique éligibles à l’indemnité de fidélisation
    M. Jean-Pierre Sueur appelle l’attention de M. le ministre de l’Intérieur sur la rotation des personnels de la Police nationale. Dans certaines zones de notre territoire, comme le département du Loiret, les effets de nouvelles affectations sont souvent réduits à néant en raison des départs non remplacés qui interviennent ensuite. Or, il existe en Île-de-France et dans des agglomérations telles que Vitrolles, Dreux, Lille, Marseille, Dunkerque, Creil, Calais, Lyon, Givors, Le Havre, Rouen, Amiens notamment, une indemnité de fidélisation instituée par le décret n° 99-1055 du 15 décembre 1999. Elle est versée aux fonctionnaires de police qui exercent dans des secteurs reconnus comme difficiles ou confrontés à un taux de rotation élevé de personnels entraînant de réels problèmes de recrutement et d’occupation de postes. Le département du Loiret entrant dans cette catégorie, il lui demande si la liste des circonscriptions de sécurité publique éligibles à cette indemnité (déjà modifiée par le décret n° 2017-455 du 30 mars 2017) pourrait être révisée afin d’y intégrer, notamment, les zones de police d’Orléans et de Montargis.
     
  •  Après s’être rendu au collège, Jean-Pierre Sueur a adressé ce matin le courrier suivant à Katia Béguin, rectrice et à Philippe Ballé, directeur des services académiques de l’Éducation nationale :

    « À la suite de l’agression violente dont a été victime un surveillant au collège Alain-Fournier d’Orléans la Source, j’ai dialogué ce matin avec les représentants des enseignants, des parents d’élèves et l’équipe de direction du collège.

    Au terme de ces contacts, il m’apparaît que des mesures d’urgence sont nécessaires pour accroître les conditions d’encadrement au sein de ce collège.

    Il serait, en particulier, indispensable d’affecter à ce collège dans les meilleurs délais :

    • Un poste de conseiller principal d’éducation
    • Au moins deux postes de surveillants complémentaires
    • Un poste d’infirmière pour pallier la vacance actuelle.

    Au-delà, d’autres dispositions seront nécessaires. Il faudra, en particulier, parvenir à une réduction des effectifs pour favoriser un meilleur encadrement des élèves.

    En effet, comme vous le savez, l’effectif du collège s’est accru depuis la fermeture du collège de la Bolière et alors même que de nouveaux logements sont construits ou en construction dans le quartier de La Source. »

  • Jean-Pierre Sueur est intervenu en séance publique au Sénat sur la situation de l’Office National des Forêts (ONF), après avoir reçu l’ensemble des représentants des personnels de cet organisme. Il a demandé une « grande ambition » pour l’ONF, avec les personnels, les moyens et la programmation financière qu’appellent l’atout considérable que constitue la forêt française, aux plans écologique, économique et touristique. Il a dit que le projet d’ordonnance présenté par le gouvernement n’était pas du tout à la hauteur de ces enjeux, qu’il dépossédait le Parlement et qu’il fallait un projet de loi, notamment pour ce qui est des statuts des personnels et de la composition du conseil d’administration. Il a illustré son propos en évoquant la forêt d’Orléans et l’arboretum des Barres, situé à Nogent-sur-Vernisson.

  • Coronavirus, réforme des retraites, élections municipales à Orléans : Jean-Pierre Sueur était l'invité de France Bleu Orléans vendredi 6 mars.

    >> (Ré)écouter l’émission

  • À la suite des informations selon lesquelles l’une des entreprises travaillant sur le chantier de la gare d’Austerlitz a décidé d’interrompre ses travaux en raison de taux de plomb « alarmants » et « jusqu’à quarante fois supérieurs à la normale », Jean-Pierre Sueur a interpellé Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, pour lui demander d’apporter dans les plus brefs délais, et en toute transparence, des informations précises à ce sujet, et plus particulièrement sur les risques induits, sur les précautions qui ont été prises ou le seront et sur les dispositions qu’elle prendra dans l’immédiat pour assurer la sécurité sanitaire de l’ensemble des salariés travaillant sur ce site et de l’ensemble des usagers.  

    Présence de grande quantité de plomb sur le chantier de la gare d'Austerlitz

    Question n° 0943S adressée à Mme la ministre de la transition écologique et solidaire
    À publier le : 10/10/2019
    Texte de la question : M. Jean-Pierre Sueur appelle l'attention de Mme la ministre de la transition écologique et solidaire sur le fait que l'une des entreprises en charge du chantier de la gare d'Austerlitz a été conduite à interrompre ses travaux en raison de taux de plomb « alarmants » et « jusqu'à 40 fois supérieurs à la normale » selon les informations publiées par le journal « Le Parisien ». Il lui demande d'apporter dans les plus brefs délais et en toute transparence, des informations précises quant à cette présence de grande quantité de plomb au sein de cette gare, sur les risques induits, sur les précautions qui ont été prises ou le seront et sur les dispositions qu'elle prendra dans l'immédiat pour assurer la sécurité sanitaire de l'ensemble des salariés travaillant sur ce site et de l'ensemble des usagers de la gare d'Austerlitz. 

     

  • Jean-Pierre Sueur est intervenu en séance publique au Sénat ce mardi 2 juillet, pour plaider la cause d’une relance de l’action du BRGM en matière d’investissement dans l’exploration et la recherche minières. Il a exposé le besoin de la France en métaux rares et stratégiques, y compris pour la transition énergétique. Il a souligné par ailleurs que, contrairement aux États-Unis, à la Chine et au Canada, la France avait abandonné l’exploration minière, alors que le BRGM fut par le passé très actif en ce domaine. Il a souligné que le BRGM s’engageait à respecter les meilleures normes environnementales et sociales pour la mise en œuvre de tels projets. Il a demandé que l’État aide financièrement le BRGM pour mener à bien ces projets et cette politique de relance minière.

    Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’économie et des finances, a notamment répondu à Jean-Pierre Sueur : « Nous partageons votre souci de sécuriser les approvisionnements des  entreprises françaises en matières premières et tout particulièrement en métaux stratégiques. La relance de l’activité minière sur le territoire ou à l’étranger avec l’appui du BRGM fait partie des solutions. Le BRGM est un acteur de premier plan au sein du comité des métaux stratégiques, que ce soit pour la veille stratégique, pour les solutions technologiques de production de métaux critiques par le recyclage ou pour la mise en évidence de ressources primaires en France et à l’étranger. La réforme du code minier a pour ambition de permettre l’émergence de projets miniers exemplaires. »

  • Jean-Pierre Sueur est intervenu au Sénat lors du débat sur le projet de loi « énergie et climat » pour poser la question – dont lui ont fait part de nombreux élus du Loiret – de la nécessaire information préalable des maires et des communes sur les projets d’installation d’éoliennes.

    Il a demandé à Élisabeth Borne, nouvelle ministre de la Transition écologique et solidaire, qu’ils soient, dans tous les cas, informés au préalable de tous les projets éoliens et que l’avis favorable de la commune soit requis, quelle que soit la dimension des éoliennes, y compris si elles ne relèvent pas de la nomenclature des Installations Classées pour la Protection de l’Environnement (ICPE).

    Il a regretté que les trois amendements qu’il a déposés à cette fin aient été déclarés irrecevables en raison d’une interprétation qu’il juge excessive de l’article 45 de la Constitution.

    Il a demandé en conséquence à la ministre de prendre ses demandes en considération. Il prendra par ailleurs de nouvelle initiatives parlementaires à cet égard.  

    Jean-Pierre Sueur déposera prochainement une proposition de loi reprenant ses trois amendements. Elle sera diffusée sur le son site.

     

  • Alerté par Frédéric Cuillerier, maire de Saint-Ay, qui lui a indiqué qu’à ce stade, il n’y avait pas d’engagement de reconstruction sur place de l’entreprise CIRETEC de Saint-Ay qui compte 74 salariés, fortement qualifiés et qui fabrique des composants électroniques à destination civile et militaire, Jean-Pierre Sueur est intervenu auprès de Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle, Sébastien Lecornu, ministre des Armées, et Régine Engström, préfète de la Région Centre Val-de-Loire et du Loiret, pour leur demander de mobiliser tous les moyens de l’État auprès du groupe qui détient CIRETEC afin d’obtenir la reconstruction sur place de l’entreprise.
  • La République du Centre, 3 octobre 2020

  • Loiret Actualités, 9 février 2023

     

     
  • Lorsque Jean-Paul Maury, initiateur, fondateur et mécène de l’atelier-musée imprimerie de Malesherbes, Jean-Marc Providence, directeur, et moi-même à qui Jean-Paul Maury avait demandé de venir avec eux plaider cette juste cause, nous sommes retrouvés devant le haut conseil des musées de France, composé notamment de conservateurs de nombreux musées français, le 8 décembre 2022, afin de solliciter pour cet établissement le label « musée de France », fruit de trois ans de démarche, nous ne savions pas si la partie serait gagnée.
    Pourtant les atouts ne manquaient pas. Dû à la volonté et à la ténacité de Jean-Paul Maury et de l’équipe qui l’entoure, cet atelier-musée est unique en Europe. Il rassemble 150 machines, des 18e au 20e siècles, dont la presse qui servit à imprimer en recto-verso Les Misérables de Victor Hugo, une autre ayant appartenu à Honoré de Balzac (et qui connut bien des échecs en matière d’imprimerie, ce qui lui inspirera Illusions perdues). Mais, de surcroît, il présente dans une remarquable muséographie l’histoire de l’imprimerie depuis six siècles, et bien au-delà, l’histoire et les réalités des arts graphiques des origines à nos jours.
    C’est un joyau, au cœur de la cité de l’imprimerie qu’est Malesherbes et Le Malesherbois, et, de surcroît, un musée vivant ouvert à toute forme d’art et de culture, au travers d’expositions temporaires et d’ateliers très nombreux en direction, tout particulièrement, des jeunes.
    J’ajoute  – mais faut-il le préciser ? – que c’est un atout touristique pour le Nord-Loiret, le Loiret et la région Centre-Val de Loire.
    … Ce fut donc avec une grande joie que nous avons appris, peu après, que suite à nos plaidoiries… mais surtout en raison de la très remarquable richesse de cet atelier-musée, celui-ci se voyait décerner enfin, le label « musée de France », qui sera un atout très précieux pour son développement et son rayonnement.
    Jean-Pierre Sueur
  • Je tiens à saluer le livre remarquable consacré à la forêt d’Orléans qui vient de paraître sous le titre La forêt d’Orléans : mythes et réalités, fruit de nombreuses années d’effort et de travail de Pierre Bonnaire, qui fut le fondateur de la Société des amis de la forêt d’Orléans (SAFO).
    Cet ouvrage rassemble les contributions de plus de cinquante auteurs portant sur l’histoire de cette forêt – la plus grande domaniale de France –, sur « l’univers des arbres et du bois » et sur le « patrimoine humain et matériel » qu’elle constitue.
    On dit souvent que la forêt d’Orléans sépare l’Orléanais et le Gâtinais. Je crois au contraire qu’elle unit tous les territoires du Loiret. C’est pourquoi j’ai écrit en avant-propos à ce livre un texte intitulé « Une forêt qui nous unit ».
    JPS

    • Ce livre, dont la réalisation a été coordonnée par Cécile Richard, est paru aux éditions du Jeu de l’Oie, 16 rue Saint-Nicolas, 45110 Châteauneuf-sur-Loire. 39,90 €

     
     
     
  • Je signale l’ouvrage intitulé La guerre de 1870-1871 dans le Loiret qui vient d’être édité par Le Souvenir Français. Les hommes de « l’Armée de la Loire » payèrent un lourd tribut lors des combats qui ont eu lieu dans le Loiret au cours de cette guerre, il y a 150 ans. Cet ouvrage est une juste œuvre de mémoire à leur égard, qui rappelle leurs noms, lorsque c’est possible, et présente tous les monuments qui leur sont dédiés dans chacune des communes du département.

    JPS

    ♦ Délégation générale du Loiret du Souvenir français, Maison Sonis, 3 allée du 2e Régiment des hussards, 45000 Orléans