Orléans

  • La République du Centre, 2 avril 2022

  • Le Journal de Gien, 16 décembre 2021

     
  • France Bleu Orléans, 2 décembre 2019

     
  • Secrétaire perpétuel de l’Académie française, Hélène Carrère d’Encausse a fait le 2 mars 2001 à Orléans l’éloge de Maurice Genevoix qui fut avant elle secrétaire perpétuel de l’Académie française, lors de l’inauguration du centre de conférences et de son auditorium.
  • Je suis triste d’apprendre le décès d’Hélène Pichot, artiste peintre, dont les œuvres subtiles, délicates, si sereines, étaient, restent - et resteront - aimées d’Orléans jusqu’au Japon. Merci, Hélène !

    JPS

     

     

  • À l’occasion de leur 113e salon, les Artistes Orléanais ont rendu hommage à plusieurs artistes récemment disparus.

    Nous reproduisons ci-dessous le texte que Jean-Pierre Sueur a écrit à leur demande sur Camille Murcia, texte qui figure dans le catalogue de ce 113e salon.

    >> Lire le texte

       

     

  • La République du Centre du 16 novembre 2009

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  • La République du Centre, 27 juillet 2022

     
  • Sur la suggestion de médecins du CHRO, Jean-Pierre Sueur a interrogé le ministre de la Santé sur l'intérêt que présenterait une répartition plus équilibrée des stages des internes dans les régions qui, comme la région Centre-Val de Loire, comptent un CHU et un CHR. Le but serait que davantage d'internes accomplissent des stages au Centre hospitalier d'Orléans, ce qui pourrait accroître dans le domaine médical l'attractivité du Loiret, touché dans nombre de secteurs par la désertification médicale.

    >> Lire la question écrite

  • La République du Centre, 26 mars 2019

     
  • Mag'Centre, 10 mars 2020

     
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  • Iréne Ajer, qui vient de nous quitter, a voué sa vie à la culture. Elle a exercé nombre de fonctions au sein du ministère de la Culture, auquel elle était très attachée, défendant toujours les jeunes compagnies, la création théâtrale, la décentralisation culturelle sous toutes ses formes. Elle fut l’administratrice de l’IRCAM de Pierre Boulez et la préfiguratrice de la Cité de la Musique. Pour nous, habitants du Loiret, elle fut surtout la première directrice de la Maison de la Culture d’Orléans, faisant preuve, comme l’écrit justement Marc Baconnet, d’autant de dynamisme que d’enthousiasme. J’ajouterai : et de générosité. Merci, Irène !

    Jean-Pierre Sueur

  • Tristesse, à la suite du décès de Jacqueline Deroin. Jacqueline fut, toute sa vie, totalement dévouée. D’abord au service des mères célibataires à la Maison de l’enfance, à Orléans,  puis, en sa qualité de cadre de santé, à la maternité de l’hôpital ainsi qu’au service de chirurgie gynécologique. Lors d’une visite de Simone Veil au CHRO, elle demanda avec une grande insistance à lui parler, en dépit du protocole. L’entretien dura une heure. Jacqueline gagna Simone Veil à la cause d’une construction d’une nouvelle maternité. Un an plus tard, avec son soutien, le chantier du bâtiment « Mère et enfant » démarrait. Elle était une figure de l’hopital. Jacqueline Deroin s’engagea ensuite, sans jamais compter son temps, au service de l’association des « Clos du Loiret », le Clos Roy à Lorris, qui accueille  les adultes en situation de handicap, et le clos Saint-Martial, qui accueille les enfants et les jeunes en situation de handicap - association dont elle était  vice-présidente. Elle fut longtemps conseillère municipale à  Lorris. Bien qu’elle ait connu bien des épreuves, Jacqueline Deroin est toujours restée d’une inaltérable générosité. Merci, Jacqueline.

  • Jacqueline Fourniguet, qui vient de nous quitter, était une figure du commerce orléanais. Nombre d’orléanais gardent le souvenir de son épicerie, place du Châtelet, qu’elle tenait avec son frère Claude et son épouse Denise. Jacqueline s’était pleinement engagée au sein de l’UDICO, association des commerçants d’Orléans. Elle fut durant deux mandats conseillère municipale déléguée chargée des sports. Elle était passionnée par le sport orléanais. Jacqueline m’honorait de son amitié. C’était une femme très chaleureuse ! Aujourd’hui, je pense à tous ses proches.

  • Très triste d’apprendre le décès de Jean Carré. Jean fut, durant toute sa vie professionnelle, et même ensuite, à la CFDT puis au syndicat SUD, un fervent et chaleureux syndicaliste, défenseur de l’ensemble des personnels hospitaliers du CHRO – et au delà – et un défenseur de tous les instants du service public hospitalier. Son dévouement était sans limite ! Je dis toute ma sympathie à ses proches, à ses collègues, à ses nombreux amis.
    Jean-Pierre Sueur

     

     

  • France Bleu, 21 février 2021

  • C’est avec beaucoup de tristesse que j’apprends le décès de Jean Ros, qui a tellement œuvré pour le sport à Orléans et dans le Loiret.
    Né à Oujda, au Maroc, Jean Ros a commencé à prendre des responsabilités sportives au club de basket de Fès. Rentré en France, il a été cadre à La Poste et à France Télécom. Et il a consacré toute sa vie, une grande partie de son temps libre, au sport. Il a été l’un des fondateurs de l’Union sportive Orléanaise (USO). Il a été joueur, entraîneur, arbitre de basket, membre du comité directeur du Loiret de basket, mais aussi du comité directeur du Loiret de volley-ball.
    Jean Ros aura été 28 ans président du comité départemental olympique et sportif du Loiret. Il a fondé le comité du Loiret de la Fédération française des médaillés de la jeunesse, des sports et de l’engagement associatif, et l’a présidé durant 40 ans.
    Il était chevalier de la Légion d’Honneur et chevalier de l’Ordre national du Mérite.
    Il venait d’achever, il y a quelques mois, une vaste histoire du sport orléanais sous le titre Orléans raconte son sport de 1882 à nos jours, encore inédite.
    J’ai conscience que cet exposé est bien loin d’être exhaustif. Mais, au-delà de ce rappel de toutes les responsabilités exercées par Jean Ros, je veux souligner son dévouement, son intégrité, son attachement à une véritable éthique du sport, bien loin des dérives qu’il réprouvait. Pour lui, le sport était d’abord un humanisme.
    Jean était fidèle en amitié. J’en ai souvent eu la preuve.
    Mes pensées vont à son épouse Lucette, et à sa fille Nathalie dont il était si fier.
    Jean-Pierre Sueur 
  • Jean-Claude Ménard vient de décéder. Il fut durant trente-sept ans élu et durant dix-neuf ans maire de Sougy. Il était très serviable, très actif, d’une grande gentillesse.
    Merci, Jean-Claude, pour ton amitié et pour tout ce que tu nous as apporté. Je pense à tes proches et aux élus et habitants de ton cher village.
    JPS
  • Le décès de Jean-Louis Bernard me touche beaucoup. Ancien maire d’Orléans et député du Loiret, il fut plusieurs fois mon adversaire politique. Je puis témoigner qu’en toutes circonstances, cela ne l’empêcha nullement d’être d’une extrême et constante courtoisie à mon égard, comme à l’égard de tous, qu’ils fussent ses amis politiques ou non. Chirurgien au centre hospitalier régional d’Orléans, il avait un rapport de grande sympathie avec ses patients, qui le lui rendaient bien. Membre du Parti radical, il portait en lui ce qu’il y a de meilleur dans la tradition radicale : un solide esprit républicain et un grand humanisme, qui allait de pair avec une vraie humanité.
    Jean-Pierre Sueur