Orléans

  • Jean-Pierre Sueur est intervenu en séance publique au Sénat ce mardi 2 juillet, pour plaider la cause d’une relance de l’action du BRGM en matière d’investissement dans l’exploration et la recherche minières. Il a exposé le besoin de la France en métaux rares et stratégiques, y compris pour la transition énergétique. Il a souligné par ailleurs que, contrairement aux États-Unis, à la Chine et au Canada, la France avait abandonné l’exploration minière, alors que le BRGM fut par le passé très actif en ce domaine. Il a souligné que le BRGM s’engageait à respecter les meilleures normes environnementales et sociales pour la mise en œuvre de tels projets. Il a demandé que l’État aide financièrement le BRGM pour mener à bien ces projets et cette politique de relance minière.

    Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’économie et des finances, a notamment répondu à Jean-Pierre Sueur : « Nous partageons votre souci de sécuriser les approvisionnements des  entreprises françaises en matières premières et tout particulièrement en métaux stratégiques. La relance de l’activité minière sur le territoire ou à l’étranger avec l’appui du BRGM fait partie des solutions. Le BRGM est un acteur de premier plan au sein du comité des métaux stratégiques, que ce soit pour la veille stratégique, pour les solutions technologiques de production de métaux critiques par le recyclage ou pour la mise en évidence de ressources primaires en France et à l’étranger. La réforme du code minier a pour ambition de permettre l’émergence de projets miniers exemplaires. »

  • Je lis nombre d’articles, j’entends et je vois des émissions se référant au centième anniversaire de la canonisation de Jeanne d’Arc, en cette année 2020...mais je regrette que soit constamment oublié l’anniversaire de la décision du Parlement d’ériger, en 1920, nos fêtes de Jeanne d’Arc en fêtes nationales...C’est, en réalité, une double commémoration que nous devons célébrer cette année...
     
    Jeanne d’Arc fut donc canonisée en 1920. Notons toutefois qu’il fallut pas moins de cinq siècles de réflexions pour que l’Église catholique découvrît qu’elle était sainte... tant il y eut, très longtemps,de prévention à son égard !
     
    Et donc, c’est en 1920 également que l’Assemblée Nationale a voté une loi - qui est toujours en vigueur - en vertu de laquelle « la République française célèbre annuellement la fête de Jeanne d’Arc, fête du patriotisme [...] le jour de la délivrance d’Orléans. » J’ajoute que cette loi avait été adoptée par le Sénat en 1894 ! Il a donc fallu pas moins de 26 ans - et une guerre mondiale - pour qu’elle fût enfin adoptée par l’Assemblée... au terme d’une « navette » qui dut être la plus longue de l’histoire...,
     
    ...Et comme cette  concomitance fut sans doute la conséquence d’une légère concurrence entre les pouvoirs civils et religieux...en 1920... nous aurons toutes les raisons de nous souvenir, malgré les difficultés présentes, que cette année 2020 est celle d’une...double commémoration. 
     
    Jean-Pierre Sueur
     
  • C’est avec tristesse que j’apprends le décès de Kateb Yessad, qui fut un maître de conférences en droit à l’IUT d’Orléans très estimé par ses étudiants et ses collègues. Kateb s’est fortement impliqué dans la vie de l’Université et dans l’accueil des étudiants venus du monde entier. Il s’est pleinement engagé dans la vie associative, pour la défense des droits de l’homme, pour l’amitié entre la France et l’Algérie,où il est né, ainsi que les autres pays du Maghreb. Il était progressiste, chaleureux, d’une grande générosité intellectuelle. J’assure son épouse, Monique, de toute mon amitié.
    Jean-Pierre Sueur
  • La République du Centre, 18 mai 2019

     
  • Le Monde, 14 février 2023

     
  • Maison des Provinces, 11 mars 2023

     
  • La Tribune - HebdO, 8 octobre 2020

  • Mag'Centre, 24 janvier 2020

     
  • Amica'Info, février 2020

  • La République du Centre, 26 avril 2021

     
  • France Bleu Orléans, 13 février 2020

     
  • Je me souviens que lorsque la Maison de Justice et du Droit (MJD) a été créée à Orléans La Source, il y a vingt ans – j’étais alors maire d’Orléans –, il y avait un certain scepticisme quant à cette nouvelle institution, certains n’imaginaient pas en effet qu’on pût recevoir les justiciables en d’autres lieux que dans les palais solennels, entre d’impressionnantes – et intimidantes ! – colonnades.
    Vingt ans après, ces craintes sont largement balayées. Grâce au dynamisme de sa directrice, Monique Ménissier, – qui vient de passer la main tout en restant présente à temps partiel –, et aux nombreux organismes, associations, professionnels et bénévoles qui y proposent des services diversifiés, adaptés, répondant aux attentes de nos concitoyens, le succès est considérable : 28 000 personnes se sont adressées à la MJD en 2020 !
    Il faut dire que la MJD rayonne sur tout le Loiret puisqu’on peut y avoir accès – par visioconférence – depuis quatorze communes du département.
    Il était très judicieux que, compte tenu de son succès, la MJD bénéficie pour son vingtième anniversaire de nouveaux locaux mis à disposition par la ville d’Orléans, facilement accessibles, face au centre commercial de La Bolière, près d’une station de tram.
    La MJD pourra ainsi encore mieux jouer son rôle qui consiste à rendre la Justice plus facilement accessible à tous, dans de meilleures conditions.
    Sous réserve, toutefois, que le ministère de la Justice lui apporte les postes et les moyens que justifient son utilité et son efficacité, désormais pleinement reconnues.
    JPS
     
  • La République du Centre,10 septembre 2009

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  • La République du Centre, 18 septembre 2009

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  • Le Point, 10 mars 2022

     
  • La République du Centre, 15 mars 2022

     
  • La République du Centre, 13 octobre 2021

  • La République du Centre, 17 février 2022

     
  • Ce fut un vrai plaisir pour des milliers de spectateurs que de découvrir avec La Tosca le huitième opéra monté au Zénith d’Orléans par la « Fabrique Opéra du Val de Loire », remarquablement interprété sous la baguette du si dynamique Clément Joubert, toujours animé, avec autant d’enthousiasme, du chaleureux désir de faire partager l’art lyrique à toutes et à tous. Que toute l’équipe, tous les interprètes, tous les participants à cette belle aventure soient aussi vivement remerciés.
    Outre la qualité du spectacle, il faut saluer le fait que près de 600 jeunes, lycéens, étudiants et apprentis, issus d’une quinzaine d’établissements, ont activement participé à cette production. Amener près de 600 jeunes à aimer l’opéra, c’est une remarquable démonstration qu’il n’est pas vrai que le théâtre lyrique soit inaccessible à nos jeunes. Non ! Il faut simplement savoir le leur faire aimer.
     
    Et si le lyrique reprenait sa place au Théâtre d’Orléans ?
    J’ajouterai qu’il est bien dommage que les représentations de la Fabrique Opéra soient le seul spectacle de théâtre lyrique (opéras, opérettes, comédies musicales) qu’il nous soit donné de voir à Orléans chaque année. Il fut un temps – c’était au vingtième siècle ! – où le lyrique tenait toute sa place dans ce qui s’appelait alors le théâtre municipal d’Orléans. Et si on y réfléchissait ? Et si la Scène Nationale, qui a accueilli un nouveau directeur, contribuait à ce renouveau ? Je sais bien que le lyrique coûte cher… Mais j’ajoute une nouvelle suggestion : et si les villes de la région (et peut-être d’au-delà), et leurs institutions culturelles, s’unissaient pour financer des créations et pour redonner en notre Val de Loire toute sa place au lyrique ?
    …En tout cas, la Fabrique Opéra aura ouvert le chemin ! 
    Jean-Pierre Sueur
     
  • France Bleu Orléans, 29 septembre 2020