Centre-Val de Loire

  • France Bleu, 21 février 2021

  • Ce fut un vrai plaisir pour des milliers de spectateurs que de découvrir avec La Tosca le huitième opéra monté au Zénith d’Orléans par la « Fabrique Opéra du Val de Loire », remarquablement interprété sous la baguette du si dynamique Clément Joubert, toujours animé, avec autant d’enthousiasme, du chaleureux désir de faire partager l’art lyrique à toutes et à tous. Que toute l’équipe, tous les interprètes, tous les participants à cette belle aventure soient aussi vivement remerciés.
    Outre la qualité du spectacle, il faut saluer le fait que près de 600 jeunes, lycéens, étudiants et apprentis, issus d’une quinzaine d’établissements, ont activement participé à cette production. Amener près de 600 jeunes à aimer l’opéra, c’est une remarquable démonstration qu’il n’est pas vrai que le théâtre lyrique soit inaccessible à nos jeunes. Non ! Il faut simplement savoir le leur faire aimer.
     
    Et si le lyrique reprenait sa place au Théâtre d’Orléans ?
    J’ajouterai qu’il est bien dommage que les représentations de la Fabrique Opéra soient le seul spectacle de théâtre lyrique (opéras, opérettes, comédies musicales) qu’il nous soit donné de voir à Orléans chaque année. Il fut un temps – c’était au vingtième siècle ! – où le lyrique tenait toute sa place dans ce qui s’appelait alors le théâtre municipal d’Orléans. Et si on y réfléchissait ? Et si la Scène Nationale, qui a accueilli un nouveau directeur, contribuait à ce renouveau ? Je sais bien que le lyrique coûte cher… Mais j’ajoute une nouvelle suggestion : et si les villes de la région (et peut-être d’au-delà), et leurs institutions culturelles, s’unissaient pour financer des créations et pour redonner en notre Val de Loire toute sa place au lyrique ?
    …En tout cas, la Fabrique Opéra aura ouvert le chemin ! 
    Jean-Pierre Sueur
     
  • Jean-Pierre Sueur est intervenu auprès du ministre des Transports, Clément Beaune, sur les dysfonctionnements constatés sur deux lignes concernant la desserte du Loiret : la ligne POLT (Paris-Orléans-Limoges-Toulouse) et la ligne Paris-Clermont-Ferrand. Il avait insisté auprès de lui sur la nécessité de moderniser ces deux lignes de manière à ce que les temps de transport soient respectés, et qu'ils soient réduits.
    Clément Beaune lui a répondu.
  • Le Berry républicain, 22 février 2022

     
  • La République du Centre, 25 janvier 2022

     
  • La République du Centre, 30 mai 2022

     
  • La directrice territoriale Centre-Val de Loire de la SNCF a informé les élus des travaux engagés pour moderniser la liaison ferroviaire Orléans-Vierzon. Ces travaux, d’un montant de 90 millions d’euros, seront réalisés entre 2023 et 2027.
  • France 3 Centre-Val de Loire, 20 avril 2022

     
  • Le généraliste, 28 février 2022

     
  • La République du Centre, 23 février 2022

     
  • Suite à la décision de Jean Castex, beaucoup se demandaient si le rapport des inspections annoncé serait conforme à nos attentes. Les doutes sont aujourd’hui levés !
    - D’abord, le CHRO deviendra CHU dès 2022 ! Quand je pense à tous les amendements allant en ce sens repoussés depuis un quart de siècle, et encore récemment, c’est assurément
    positif.
    - Ensuite, la future Faculté de médecine d’Orléans sera une faculté autonome, pleine et entière. C’est essentiel !
    - Enfin, les différentes années d’étude doivent s’ouvrir année après année jusqu’en 2026, de façon à arriver dès que possible à un cursus complet.
    Ce sont de bonnes nouvelles. Car ces projets sont assurément les principales réponses, à long terme, à la désertification médicale que connaît notre département. Il nous faudra toutefois rester vigilants afin que les annonces se traduisent en actes. Il faudra aussi trouver des réponses immédiates aux crises actuelles. Je pense particulièrement, bien sûr, à la situation du service des Urgences.

    Jean-Pierre Sueur

     

  • Cela fait vingt-cinq ans… que je demande la création d’un centre hospitalier universitaire (CHU) à Orléans.
    Cela fait un quart de siècle que nous nous heurtons au refus des responsables du CHU de Tours et à l’indifférence ou a l’inaction des différents gouvernements.
    On nous a dit tellement de fois qu’on « déploierait » à Orléans tel ou tel enseignant ou praticien hospitalier, des internes et même des chefs de clinique.
    Mais au-delà de quelques mesurettes, rien de sérieux n’a été fait.
    Alors, aujourd’hui, j’ai signé des deux mains l’appel lancé par François Bonneau, président de la Région Centre-Val de Loire, et Éric Chevée, président du Conseil économique, social et environnemental régional (CESER).
    Certes, le texte ne parle pas d’un CHU à Orléans, mais d’une formation sur deux sites en région, Tours et Orléans, avec la création d’une faculté régionale bi-site et l’universitarisation du CHRO. Autrement dit, cela se traduirait par une faculté de médecine à Orléans, et c’est bien là l’essentiel.
    J’espère donc que le Premier ministre, Jean Castex, nous recevra très vite pour évoquer cette question importante et urgente à l’heure où nous assistons à une désertification galopante dans le Loiret.
    J’ajoute un mot à propos d’une question qui peut être liée à ce projet : le déplacement de la faculté de droit de la Source au centre-ville d’Orléans.
    J’ai, pour ma part, toujours été réticent – pour ne pas dire plus – sur ce projet.
    Pourquoi ?
    Parce que si je suis tout à fait favorable à la création, sur le site de l’ancien hôpital Porte-Madeleine, d’un second pôle universitaire, je préférerais qu’on y accueille des enseignements et des composantes qui n’existent pas à La Source. Et, à cet égard, les idées, projets et opportunités ne manquent pas.
    La faculté de droit est, en effet, installée à La Source dans des locaux de qualité et bénéficie d’un rayonnement national et international très reconnu.
    La déplacer coûterait, nous dit-on, cinquante millions d’euros. En réalité, ce sera de l’ordre de soixante-dix millions d’euros. Et après cela, il n’y aura pas un étudiant ni un enseignant de plus que si cette faculté restait sur son site actuel. Et, par voie de conséquence, le site de la Source (qu’il est impossible de déplacer totalement en centre-ville, loin s’en faut) aura perdu de sa densité et de son attractivité.
    Les décideurs, avec qui j’ai eu l’occasion d’évoquer ces questions, souscrivent – pour certains d’entre eux ! – à ma position, mais me disent que c’est un « coup parti. »
    Qu’à cela ne tienne ! Alors je fais une proposition simple : si on ne peut renoncer à ce transfert, utilisons les locaux de ce qui sera l’ex-faculté de droit pour accueillir la future faculté de médecine. Située à la Source, elle sera proche du CHRO. Et on pourra dire et montrer enfin que le transfert de la faculté de droit aura servi à quelque chose.
    Jean-Pierre Sueur
  • Mag'Centre, 5 ajnvier 2022

  • Nous publions l'interview que Jean-Pierre Sueur a donnée au Journal du Parlement, parue sous le titre "Unité et cohérence" dans un numéro spécial consacré à la région Centre-Val de Loire.

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  • La République du Centre, 18 février 2021

     
  • À la demande du président de l’URIOPSS Centre-Val de Loire, Jean-Pierre Sueur avait saisi Brigitte Bourguignon, ministre déléguée chargée de l’autonomie, au sujet des rémunérations et des difficultés de recrutement des professionnels du secteur médicosocial non lucratif. La ministre lui a répondu.
  • Mag'Centre, 20 janvier 2022

     
  • Je tiens à saluer tout particulièrement la décision prise par François Bonneau, président, Carole Canette, vice-présidente, et les élus de la Région Centre-Val de Loire, d’implanter un nouveau lycée à Châteauneuf-sur-Loire, décision qui fut présentée ce samedi 4 février en présence de Gilles Halbout, recteur, de Florence Galzin, maire, et de Frédéric Mura, président de la communauté de communes.
    En effet, ce n’est pas un secret que de dire que certains arguments plaidaient pour créer ce nouveau lycée dans la métropole orléanaise.
    Or la décision qui a été prise, et que je salue, est une vraie et forte décision d’aménagement du territoire.
    Car les besoins de formation, réels dans le secteur de Châteauneuf-sur-Loire, de sa communauté de communes, et bien au-delà, justifient pleinement la création d’un lycée d’enseignement général, technologique et professionnel.
    Et, d’autre part, ce serait une profonde erreur que de concentrer les équipements dans la métropole – dont le développement est bien sûr un atout – au détriment du réseau de villes moyennes qui l’entourent et qui se développent avec elle, attirant d’ailleurs toujours davantage de population comme le montrent les études de l’Insee. Les relations entre la métropole et l’ensemble des communautés de communes qui l’entourent est, ainsi, un enjeu crucial pour un aménagement du territoire, les enjeux du futur – et la formation est le premier –, et la qualité de la vie
    Jean-Pierre Sueur

     

  • Le Journal de Gien, 3 mars 2022

  • L'Éclaireur du Gâtinais, 2 mars 2022