Mag’Centre vient de publier un numéro spécial consacré à l’histoire, aux élus, aux enjeux et aux projets d’Orléans Métropole et dans lequel est parue une interview de Jean-Pierre Sueur.
Mag’Centre vient de publier un numéro spécial consacré à l’histoire, aux élus, aux enjeux et aux projets d’Orléans Métropole et dans lequel est parue une interview de Jean-Pierre Sueur.
De graves problèmes s’étant posés, notamment à la suite des inondations de 2016, six maires du secteur Val de Loire sud, le président du syndicat de rivière du Loiret et plusieurs agriculteurs avaient saisi, il y a un an, le préfet de l’époque des lourdes difficultés engendrées par le défaut d’entretien de collecteurs d’eau, en particulier lorsqu’ils traversent des propriétés privées. Leur démarche étant restée sans suite, Jean-Pierre Sueur a écrit au préfet du Loiret pour demander l’organisation d’une réunion de travail associant les élus et responsables professionnels concernés. Il a également saisi le ministre de l’Agriculture de ce sujet par une question écrite.
Suite à la demande de l’UMIH, qui rassemble les hôteliers et restaurateurs du Loiret, j’ai donc posé une question à Nicolas Hulot, ministre de la transition écologique et solidaire. On lira ci-dessous la question et la réponse que celui-ci vient de me faire. Celle-ci reprend, pour l’essentiel, la législation en vigueur.
Je continue pour ma part à considérer qu’il y a une vraie disparité, et même une profonde inégalité, lorsque l’on constate que les entreprises de restauration se signalent par des panneaux d’une taille considérable dans les entrées de ville… cependant que l’on est parfois très vétilleux à l’égard d’une pré-enseigne de taille relativement modeste qui signale une auberge ou un petit hôtel à l’entrée d’un village.
Lors d’une réunion de concertation qui a réuni, à la préfecture du Loiret, élus, professionnels et services de l’État, le préfet Jean-Marc Falcone a proposé la mise en place d’un groupe de travail pour étudier de manière positive la mise en œuvre de la législation et de la règlementation à cet égard. J’espère que cette démarche pragmatique permettra des avancées concrètes sur cette question qui peut avoir des conséquences non négligeables pour un certain nombre de professionnels de la restauration et de l’hôtellerie en milieu rural.
Jean-Pierre Sueur
Jean-Pierre Sueur vient de publier son 29e compte-rendu de mandat en tant que sénateur du Loiret. Celui-ci compte 114 pages, « malgré de nombreuses coupes », comme Jean-Pierre Sueur l’explique dans l’éditorial. Il n’a, en effet, en 2017, pas pu publier cette Lettre numéro 29 en milieu d’année, comme de coutume, en raison des règles s’imposant lors des campagnes électorales.
Si bien que cette Lettre n° 29 revient largement sur son activité durant l’ensemble de l’année 2017.